L’ère post industrielle a été marquée depuis les années 70 du siècle passé par la prédominance des services dans les pays industriels , où une économie d’information, déjà importante, s’est considérablement développée depuis . Au niveau des comportement de recherche ( seeking behavior), et de récupération d’information(information searching behavior) , le rôle du secteur d’information traditionnel a été crucial dans la satisfaction des besoins d’information formulées. Mais , depuis les années 90 l’éclosion de l’internet a été l’avènement d’une économie numérique devenue «pervasive» dans les pays avancées au point de parler d’économie DATA-DRIVEN, base de la nouvelle révolution industrielle. Cette nouvelle ère est dominée par les USA où les critiques ont fusé de tous les sens pour encadrer les grandes plateformes. Et la mi-mars 2024 a été jalonnée par l’adoption de régulations ad hoc comme en Europe et d’une résolutions onusienne à l’initiative américaine pour négocier sur cette nouvelle économie digitale dans l’objectif de l’encadrer et la réguler. Paradoxalement les internautes ont bénéficié de toutes les opportunités de partage et d’open source permis par cette ère digitale. Pour les économistes et chercheurs d’information, aux fins de la recherches de qualité et novatrice, il serait intéressé de capitaliser sur la sérendipité, d’autant plus facilitée par les économies externes d’internet qui favorise une immersion et la découverte fortuite de contenus ainsi que leur diffusion via les canaux digitaux et les réseaux sociaux au moindre coût. Notre site s’y inscrit en opérant, outre une veille d’information sur la base de sources officielles dédiées un suivi des différents trends mis en ligne par les plateformes mondiales à la manière d’un serendpidier qui immerge dans ce monde d’information et de data à foison pour surfer dans celui des trends avant de couronner par des papiers d’actualité.
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(**) choix de nom pris plus d’une dizaine d’année pour un groupe créé sur FACEBOOK